La Vallée des chevaux
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Ayla repoussa les cheveux qui lui tombaient dans les yeux, défit la longue lanière qui retenait son vêtement et retira son amulette. Jondalar éprouva aussitôt une excitation familière. C’était le cas chaque fois qu’il voyait son corps. On dirait un lion, se dit-il en admirant sa grâce nerveuse alors qu’elle plongeait dans le cours d’eau. Il s’élança derrière elle.
Nageant à contre-courant, elle frappait l’eau avec une telle violence qu’il se dit qu’elle avait besoin de passer sa colère sur quelque chose et il la laissa le distancer. Quand il la rattrapa, elle se laissait flotter sur le dos au gré du courant et semblait plus détendue. Lorsqu’elle se remit sur le ventre, Jondalar, qui se trouvait à sa hauteur, laissa courir sa main depuis ses épaules jusqu’à ses fesses douces et arrondies.
Elle fila comme une flèche et sortit de l’eau. Quand il regagna la plage, elle avait déjà remis son amulette et son vêtement en peau.
— Qu’est-ce que j’ai fait de mal ? demanda-t-il, debout en face d’elle.
— Rien, répondit-elle. C’est de ma faute. Toute la journée, j’ai essayé de t’encourager mais tu ne connais pas les gestes du Clan.
Quand Ayla était devenue une femme, Iza lui avait expliqué ce qu’elle devait faire quand elle saignait, comment se nettoyer après avoir été avec un homme, et elle lui avait aussi indiqué les gestes et les positions qui pouvaient inciter un homme à lui faire signe. Sur ce dernier point, Iza ne se faisait pas d’illusions : Ayla aurait beau utiliser ces gestes, jamais un homme du Clan ne la trouverait attirante.
— Quand tu poses tes mains sur moi d’une certaine manière ou tes lèvres sur les miennes, je sais que tu me fais signe. Mais moi, je ne sais pas comment faire pour t’encourager.
— Pour m’encourager, la seule chose que tu aies à faire c’est d’être là, Ayla.
— Ce n’est pas ce que je voulais dire... Je ne sais comment m’y prendre pour te dire que je désire partager les Plaisirs avec toi. Tu m’as dit que certaines femmes connaissaient le moyen d’encourager un homme...
— C’est ça qui t’inquiète, Ayla ? Tu veux apprendre à m’encourager ? Elle lui répondit par l’affirmative puis baissa la tête, soudain gênée. Les femmes du Clan n’étaient jamais aussi directes. Lorsqu’elles voulaient montrer à un homme qu’elles le désiraient, elles faisaient preuve d’une retenue excessive comme si elles pouvaient à peine supporter la vue d’un mâle aussi viril – néanmoins, grâce à des coups d’œil timides et des postures innocentes qui rappelaient celle de la femelle en position pour être pénétrée, elles lui faisaient clairement comprendre qu’il était irrésistible.
— Regarde comme tu m’as encouragé ! dit-il.
Son érection était si évidente qu’Ayla eut aussitôt la preuve qu’il disait la vérité. Elle eut un sourire ravi.
— Ayla, reprit-il en la soulevant dans ses bras, le simple fait que tu sois vivante me donne envie de partager les Plaisirs avec toi. Dès que je t’ai vue, je t’ai désirée, ajouta-t-il en s’engageant dans le sentier. Tu es si attirante que tu n’as pas besoin de faire quoi que ce soit. Si tu me désires, tu n’as qu’à me le dire ou à faire comme ça, conclut-il en l’embrassant sur les lèvres.
Il entra dans la caverne et la déposa sur les fourrures de la couche. Puis il l’embrassa à nouveau, à pleine bouche. Ayla sentit son membre viril contre elle, rigide et chaud. Jondalar se releva et lui dit avec un sourire moqueur :
— Tu m’as avoué que tu avais essayé de m’encourager toute la journée. Qui te dit que tu n’y as pas réussi ?
Il fit alors un geste tout à fait inattendu.
— Jondalar ! s’écria-t-elle en lui lançant un regard stupéfait. C’est... le signal des hommes du Clan !
— Si toi, tu essaies de m’encourager avec les gestes du Clan, pourquoi n’aurais-je pas le droit de te rendre la politesse ?
— Mais... je...
Ayla était tellement stupéfaite qu’elle en bafouillait. Sans plus attendre, elle se leva, lui tourna le dos, se mit à genoux et écarta les jambes.
En imitant le geste des hommes du Clan, Jondalar ne songeait qu’à plaisanter. Mais la vue de ses fesses rondes et fermes et de son sexe rose foncé et si tentant lui sembla soudain irrésistible. Avant de se rendre compte de ce qu’il faisait, il se retrouva à genoux derrière elle et s’enfonça aussitôt dans ses chaudes profondeurs.
Dès qu’Ayla s’était retrouvée en position, elle avait repensé à Broud. Pour la première fois elle avait eu envie de se refuser à Jondalar. Mais cette posture avait beau provoquer chez elle des associations détestables, elle avait été conditionnée si jeune à obéir au signal qu’elle était incapable de passer outre.
Quand Jondalar la pénétra, elle se mit à crier, éprouvant un plaisir totalement inattendu. Grâce à cette position, le contact du membre viril de Jondalar l’excitait à d’autres endroits, provoquant des sensations toutes nouvelles. Quand Jondalar, qui s’était retiré, la pénétra de nouveau, elle se plaqua contre lui et songea soudain à l’étalon qui avait couvert Whinney. Elle éprouva une délicieuse sensation de chaleur et des picotements dans tout le corps. Elle se redressa et recula son bassin, remuant au même rythme que Jondalar, en gémissant et en poussant des cris perçants.
— Ayla ! Oh, Ayla ! Ma belle femme sauvage ! cria Jondalar sans interrompre son mouvement de va-et-vient.
Il la prit par les hanches et l’attira contre lui. Ayla se redressa pour aller à sa rencontre au moment où il s’engouffrait en elle avec un frisson de plaisir.
Ils restèrent ainsi un long moment, tremblant tous les deux. Ayla avait laissé retomber sa tête en avant. Jondalar se coucha sur le côté, l’entraînant avec lui et ils restèrent allongés sans bouger. Jondalar se lova contre elle sans se retirer, et saisit son sein dans sa main.
— Je dois reconnaître que ce signal n’est pas mal, finit-il par dire en lui mordillant l’oreille.
— Au début, je n’en étais pas sûre. Mais avec toi, Jondalar, tout est toujours très bien. Tout n’est que Plaisir...
Debout sur la corniche, Ayla appela Jondalar qui se trouvait sur la plage, puis elle lui demanda :
— Qu’est-ce que tu cherches ?
— Je regardais si je trouvais des pierres à feu.
— Ce n’est pas la peine. Celle que j’ai trouvée en premier n’est toujours pas usée. Ces pierres durent très longtemps.
— Je sais. Mais j’en ai trouvé une et je m’amusais à en chercher d’autres. Tout est prêt ?
— Nous avons tout ce qu’il nous faut, répondit Ayla en s’engageant dans le sentier. Nous ne pourrons pas rester absents longtemps. Le temps change vite à cette époque de l’année. Le blizzard peut se lever à n’importe quel moment.
Jondalar plaça les pierres qu’il venait de ramasser dans un sac, jeta un dernier coup d’œil autour de lui, puis il leva les yeux et aperçut Ayla.
— Comment es-tu habillée ? S’écria-t-il.
— Ça ne te plait pas ?
— Bien sûr que ça me plaît ! Où as-tu trouvé ces vêtements ?
— C’est moi qui les ai fabriqués quand je faisais les tiens. J’ai suivi le même modèle, mais en l’adaptant à ma taille. Je ne savais pas si je pourrais les porter. C’est une tenue d’homme, non ?
— Oui, reconnut Jondalar. Mais les femmes portent une tenue qui ressemble beaucoup à la tienne. La tunique est un peu plus longue et les décorations légèrement différentes. Ce sont des vêtements mamutoï. J’ai perdu mes propres vêtements au moment où nous sommes arrivés à l’embouchure de la Grande Rivière Mère. Cette tenue te va très bien, Ayla. Et tu vas l’apprécier quand il commencera à faire froid.
— Je suis contente que tu l’aimes. Je voulais être habillée... à ta manière.
— Je crois que je n’ai plus rien d’un Zelandonii, Ayla. Regarde un peu de quoi nous avons l’air ! Habillés comme les Mamutoï et partant en voyage avec deux chevaux ! Whinney transporte la tente, la nourriture et des peaux de rechange. Cela me fait tout drôle de partir sa
ns autre chargement que mes armes et un sac rempli de pierres à feu ! J’ai l’impression que si quelqu’un nous voyait, il serait plutôt surpris. Mais pas autant que moi. J’ai du mal à me reconnaître, Ayla. Tu as fait de moi un autre homme. Et je t’en aime d’autant plus.
— Moi aussi, j’ai changé, Jondalar. Et moi aussi, je t’aime.
— Allons-y, proposa-t-il.
Ayla se sentait totalement perdue à l’idée de quitter la vallée et elle éprouva le besoin de se retourner pour contempler le paysage familier.
— Regarde, Jondalar ! s’écria-t-elle. Les chevaux sont revenus ! Je ne les avais jamais revus depuis que j’ai tué la jument. Je suis contente qu’ils soient de retour. J’ai toujours pensé que c’était leur vallée.
— C’est la même troupe ?
— Je ne sais pas. L’étalon avait une robe couleur de foin, comme Whinney. Mais je ne le vois pas, cela fait si longtemps...
Whinney, elle aussi, avait remarqué les chevaux et elle hennit bruyamment. Les autres chevaux lui répondirent et Rapide dressa les oreilles. Puis la jument rejoignit Ayla, suivie par son poulain qui trottait derrière elle.
Ayla continua à suivre la rivière vers le sud jusqu’à ce qu’elle aperçoive le passage escarpé qui rejoignait les steppes. Ils traversèrent alors la rivière. Arrivés en haut de la pente, elle monta avec Jondalar sur Whinney et ils prirent la direction du sud-ouest. Le terrain devint plus accidenté : il était parsemé de canyons rocheux et dominé par des pentes abruptes qui conduisaient à des plateaux. Quand ils approchèrent d’un passage entre des blocs de rochers déchiquetés, Ayla mit pied à terre et examina avec attention le sol. Ne voyant pas d’excréments frais, elle s’engagea dans le canyon sans issue, puis escalada un des rochers qui s’étaient détachés de la paroi. Jondalar l’avait suivie et il s’approcha avec elle de l’éboulis de pierres qui se trouvait au fond du canyon.
— C’est là, dit-elle en lui tendant une petite bourse qu’elle venait de sortir de sa tunique.
Jondalar avait reconnu l’endroit.
— Qu’est-ce que c’est que ça ? demanda-t-il en prenant la bourse.
— De la terre rouge, Jondalar. Pour sa tombe.
Incapable de parler, il se contenta de hocher la tête. Ses yeux se remplirent de larmes et il ne fit aucun effort pour se retenir. Il prit une poignée d’ocre rouge qu’il dispersa au-dessus des pierres, puis il renouvela son geste. Ayla l’attendait tandis qu’il contemplait, les larmes aux yeux, l’amas de pierres. Quand il pivota pour partir, elle fit un geste au-dessus de la sépulture de Thonolan.
Ils chevauchèrent un long moment sans échanger un mot.
— Thonolan faisait partie des élus de la Mère, dit Jondalar. Elle l’a rappelé à Elle.
Ils continuèrent à avancer.
— Pourquoi as-tu fait ce geste ? demanda-t-il soudain.
— Je demandais au Grand Ours des Cavernes de le protéger lors de son voyage vers l’autre monde, de lui souhaiter bonne chance.
— Je tiens à te remercier, Ayla. Je te suis reconnaissant de l’avoir enterré et aussi d’avoir imploré l’aide des totems du Clan. C’est vrai, je suis sincère. Grâce à toi, je pense, il trouvera son chemin vers le monde des esprits.
— Tu as dit qu’il était courageux. Les braves n’ont besoin de personne pour trouver leur chemin. A mon avis, pour ceux qui sont sans peur, ce doit être une aventure excitante.
— Il était courageux et il aimait l’aventure. Et il débordait de vie, d’entrain et d’enthousiasme. Sans lui, je n’aurais pas entrepris ce Voyage. (Il resserra l’étreinte de ses bras.) Et je ne t’aurais pas rencontrée.
« C’est ce que le shamud voulait dire en parlant de mon destin. “ Il te mène là où tu n’aurais pas songé aller. ” Thonolan m’a mené vers toi... avant de rejoindre sa bien-aimée dans le monde des esprits. Je ne voulais pas qu’il s’en aille, mais je comprends maintenant pourquoi il est parti.
Ils poursuivaient leur route vers l’ouest et le paysage accidenté laissa de nouveau place à des steppes plates à perte de vue, traversées par des rivières et des torrents qui s’écoulaient du grand glacier du nord. L’eau se frayait un passage à travers de rares canyons aux hautes parois, et serpentait dans des vallées en pente douce. Les quelques arbres qui parsemaient les steppes avaient tellement de mal à pousser qu’ils étaient tout rabougris, même quand ils croissaient au bord de l’eau, et ils avaient des formes torturées, comme pétrifiés au moment où ils se courbaient pour échapper à une violente rafale.
Chaque fois qu’ils le pouvaient, Ayla et Jondalar suivaient des vallées qui leur permettaient de s’abriter du vent et de trouver du bois. Même dans ces endroits protégés, les bouleaux, les saules, les pins et les mélèzes n’étaient pas très abondants. Les animaux, eux, en revanche, pullulaient : les steppes constituaient une réserve inépuisable de bêtes de toutes sortes. Grâce aux propulseurs, Ayla et Jondalar tuaient tout le gibier qu’ils voulaient et ils ne manquaient jamais de viande fraîche. Bien souvent, ils abandonnaient derrière eux les restes du gibier aux prédateurs et aux nécrophages.
La lune avait parcouru la moitié de son cycle depuis leur départ quand Jondalar et Ayla, qui avaient chevauché toute la matinée, aperçurent dans le lointain une colline avec un soupçon de verdure. C’était une journée magnifique, chaude et sans un souffle de vent. Aiguillonné par la proximité du corps d’Ayla, Jondalar avait glissé la main sous la tunique de la jeune femme pour la caresser. Quand ils se retrouvèrent au sommet de la colline, ils aperçurent en bas une agréable vallée arrosée par une large rivière. Ils atteignirent le cours d’eau au milieu de la journée.
— Quelle direction prenons-nous ? demanda Ayla. Le nord ou le sud ?
— Ni l’une ni l’autre. Installons notre campement.
N’ayant pas l’habitude de s’arrêter aussi tôt dans la journée, Ayla allait émettre une objection. Mais quand Jondalar lui mordilla le cou en lui caressant le sein, elle changea d’avis.
— D’accord, dit-elle, trouvant l’idée excellente.
Elle passa une jambe par-dessus le dos de Whinney et se laissa glisser sur le sol. Jondalar descendit à son tour puis il l’aida à débarrasser la jument des paniers qu’elle portait pour qu’elle puisse se reposer et brouter tranquillement. Il reprit alors Ayla dans ses bras et l’embrassa en glissant à nouveau la main sous sa tunique.
— Pourquoi ne me laisses-tu pas l’enlever ? demanda-t-elle.
Elle fit glisser sa tunique par-dessus sa tête, détacha la lanière qui retenait son pantalon et le retira lui aussi. Au moment où Jondalar retirait sa tunique, il l’entendit glousser. Lorsqu’il regarda à nouveau dans sa direction, elle avait disparu. Riant toujours, Ayla plongea dans la rivière.
— J’ai envie de me baigner, dit-elle.
Jondalar eut un sourire malicieux et, après avoir retiré son pantalon, il se précipita lui aussi dans l’eau. La rivière était froide et profonde et agitée par un fort courant. Ayla, qui la remontait, nageait si vite qu’il eut du mal à la rattraper. Quand il arriva à sa hauteur, il se mit à barboter pour pouvoir l’embrasser. Ayla s’échappa en riant et se précipita vers la berge.
Jondalar fit comme elle. Mais, le temps qu’il atteigne la berge, elle était déjà sortie de l’eau et remontait la vallée en courant à toute vitesse. Il se lança à sa poursuite. Il allait la rattraper quand elle fit un brusque crochet. Jondalar se précipita derrière elle et finit par l’attraper par la taille.
— Je ne te laisserai pas t’échapper encore une fois, dit-il en la serrant contre lui. Si je continue à te pourchasser, je vais m’épuiser. Et je ne pourrai plus te donner du Plaisir, ajouta-t-il, enchanté par ses taquineries.
— Je ne veux pas que tu me donnes du Plaisir. Stupéfait, Jondalar la lâcha.
— Tu ne veux pas que... dit-il, le front plissé par l’inquiétude.
— Je veux te donner du Plaisir.
Le cœur de Jondalar reprit son rythme normal et il la serra à nouveau dans ses bras.
— Tu me donnes toujours du Plaisir, Ayla.
— Je sais que ça te plaît de me donner du Plaisir. Mais je te parle d’autre chose. Je veux apprendre à te donner du Plaisir.
Incapable de lui résister, Jondalar la serra plus fort dans ses bras. Son membre viril était dur et il embrassa Ayla avidement. Ce fut un très long baiser.
— Je vais te montrer comment faire pour me donner du Plaisir, dit Jondalar.
Il la prit par la main et l’emmena vers un endroit tapissé d’herbe près de la rivière. Une fois installés, il l’embrassa à nouveau, puis descendit vers son cou en la poussant doucement pour qu’elle s’allonge sur le sol. Il avait atteint sa poitrine et s’apprêtait à l’effleurer du bout de la langue quand Ayla se rassit brusquement.
— Je veux te donner du Plaisir, dit-elle.
— J’éprouve une telle satisfaction chaque fois que je te donne du Plaisir que je ne vois pas très bien ce que ça changerait si c’était toi qui m’en donnais.
— Ta satisfaction serait-elle moins grande ? Jondalar éclata de rire.
— Tout ce que tu fais me plaît, Ayla. Je t’aime, ajouta-t-il en la regardant au fond des yeux.
— Moi aussi, je t’aime, Jondalar. Surtout lorsque tu me regardes comme ça. Et plus encore peut-être quand tu me souris et quand tu ris. Personne ne riait dans le Clan. Je ne veux plus jamais vivre avec des gens qui m’interdisent de sourire ou de rire.
— Personne ne t’empêchera plus de rire, Ayla. Tu es magnifique quand tu souris. (En entendant ça, elle ne put s’empêcher de sourire.) Ayla, oh, Ayla ! murmura Jondalar en enfouissant sa tête dans son cou pour l’embrasser.
— J’aime quand tu me caresses et quand tu m’embrasses, mais je veux savoir ce qui te fait plaisir.
— Tu n’as qu’à me faire ce que tu aimes que je te fasse, lui proposa Jondalar.
— Est-ce que ça te plaira ?
— Nous pouvons toujours essayer.
Ayla le poussa pour qu’il s’allonge sur l’herbe, puis elle se pencha vers lui pour l’embrasser. Jondalar lui répondit en prenant bien garde de se maîtriser. Quand Ayla commença à effleurer son cou avec sa langue, il tressaillit.